Le ténor José Perritaz se présente:
J’ai chanté dès l’âge de 7 ans aux Petits chanteurs de Fribourg sous la direction de l’Abbé Pierre Kaelin, jusqu’à environ 12 ans.
À ce moment-là, je pensais ne plus vouloir de cette activité. Mais après avoir tenté le judo, le foot, le basket, le théâtre et la fanfare, arrivé à presque 18 ans j’ai tout de même décidé que la chorale, ce n’était pas si mal. J’ai même suivi des cours dans la classe de Cécile Zay au Conservatoire de Fribourg. La pratique du chant est finalement devenue un élément essentiel de ma vie.
Voici les chœurs dont j’ai été membre et les chefs que j’ai côtoyés :
- La Villanelle de Montagny-Cousset de 1987 à 1992. Avec Pierre Huwiler, puis Francis Volery
- Le Choeur St-Michel de 1989 à 1992, dirigé par André Ducret
- L’Accroche-Choeur, de 1991 à 1996, avec Marie-Claude Chappuis, puis Jean-Claude Fasel
- Le Choeur des XVI (André Ducret) de 1992 à 2009
- Le Quatuor Laqué depuis 1999
- La Cécilienne mixte d’Ecuvillens-Posieux, direction Jean-Luc Waeber, de 2013 à 2017
- L’ensemble vocal Dievole depuis 2021
- AZUR ensemble vocal depuis 2022
Projets ponctuels:
Citons pour ces dernières années les ensembles Scarlatti et Anonymos (dirigés par Marc-Antoine Emery), une participation à la production de Marie-Claude Chappuis « Au cœur des Alpes » pour Sony Classical, et l’ensemble vocal Emocio (Pascal Crittin) pour le projet « Fauré » 2024.
Composition, arrangement:
Ayant d’abord composé presque sans aucune connaissance théorique de l’harmonie, je sais gré à mes complices du quatuor d’avoir bien voulu donner vie à mes tentatives musicales empiriques. Afin que mes idées gagnent en intelligibilité, je bénéficie depuis 2018 du mentorat d’André Ducret.
Ma motivation au Quatuor Laqué : l’amour immodéré de la musique a capella.
Ma tendance : généraliste, c’est-à-dire toutes les époques, tous les genres
José vu par les autres:
Toujours prêt à chanter, à bosser une partition, à rire, à boire et à manger! Quel homme! Quelle santé! Quelle voix! C’est Le Ténor dans toute sa splendeur. Il nous en met plein les yeux, puisqu’il s’occupe de tout ce qui se voit au quatuor, des affiches au site que vous êtes en train de consulter. Il a une ponctualité aux répétitions toute relative, mais compensée par le fait qu’il nous freine lors des digressions, et nous pousse à travailler. Un comble pour ce « rouge »! En effet, c’est le syndicaliste du Quatuor, qui revendique la semaine de 35 heures de répétitions. Où va-t-on?